Je nous fais un cadeau : Réfléchir


Je suis devant une page blanche; le soleil n’est pas ici, il est encore et toujours en République dominicaine. Je me demande ce que nous nous offrons aujourd’hui comme réflexion? Pas de soleil, il fait froid, la nature verte se meurt pour laisser sa place à une nature blanche. C’est comme cela depuis une éternité et ça recommence comme ça à tous les ans et c’est toujours comme la première fois : on ne se souvient jamais de la dernière année.

Les employeurs cherchent des travailleurs; nous avons, semble-t-il, une pénurie de travailleurs; allez les chercher là où ils sont, à savoir en ligne devant les boutiques de pot; ce sont des gens déterminés et patients, car s’ils ne peuvent pas se faire servir dans la journée, et cela après avoir attendu en ligne des heures et des heures, ils se lèvent tôt le lendemain matin et ils reviennent faire la ligne pour avoir leur pot. Ouffff!

Quand avons-nous vu une compagnie ouvrir son commerce et après 5 jours, devoir le fermer pour manque de stock? Il y a quelqu’un qui dort sur la « switch ».

Trump s’amuse toujours à nos dépens. Le plus grand succès dans sa présidence sera celui d’avoir établi dans la société le mensonge comme une réalité positive. Avec lui, le mensonge devient partie intégrante de nos vies. Essayons d’expliquer cela à nos enfants. Des fois, on s’ennuie de nos curés.

Bon, tiens allons ailleurs, là où il fait beau.  Motivons-nous tous ensemble. J’ai donc pensé à nous faire un cadeau. Il y a des personnages sur terre qui nous ont laissé leurs pensées, leurs réflexions. Allons-y, payons-nous la traite.

« Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu’il réside dans la façon de la gravir. » Confucius

Le bonheur c’est de ne jamais arrêter. Action/Réaction.

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, ils l’ont fait. » Mark Twain

« Ce qui est plus triste qu’une œuvre inachevée, c’est une œuvre jamais commencée. » Christina Rossetti

« Il y a des gens qui disent qu’ils peuvent, et d’autres qu’ils ne peuvent pas. En général ils ont tous raison. »  Henry Ford

« L’échec est seulement l’opportunité de recommencer d’une façon plus intelligente. » Henry Ford

« L’action n’apporte pas toujours le bonheur, mais il n’y a pas de bonheur sans action. » Benjamin Disraeli

« Il faut viser la lune, parce qu’au moins si vous échouez, vous finissez dans les étoiles. » Oscar Wilde

« Les gagnants trouvent les moyens, les perdants des excuses. » Franklin Roosevelt

« Ils le peuvent, parce qu’ils pensent qu’ils le peuvent. » Virgile

« Les grandes réalisations sont toujours précédées par de grandes pensées. » Steve Job

« C’est à l’âge de dix ans que j’ai gagné Wimbledon pour la première fois …. dans ma tête. » André Agassi

« Il est toujours trop tôt pour abandonner. » Norman Vincent Peale

« Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. » Winston Churchill

Albert Schweitzer disait : « Le succès n’est pas la clé du bonheur, le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez. »

Nos parents croyaient que les riches étaient tous des gens heureux, ce qui est loin d’être le cas. Croyez-moi, je vous en parlerai dans une prochaine chronique. L’argent n’est pas synonyme de bonheur.

L’argent est un outil parmi tant d’autres, il ne doit pas être l’objectif pour être heureux. Il n’est qu’un des moyens, important oui, mais un moyen quand même.

« Réussir dans la vie n’est pas synonyme de réussir sa vie. » Laurent Pelletier

Trump a possiblement réussi dans la vie, mais pas certain qu’il ait réussi sa vie. Une personne qui a réussi sa vie n’a pas un tel EGO de lui-même et un tel mépris des autres. Mais il faut donner à César ce qui appartient à César, dit-on. Il a réussi à appliquer l’adage qui dit : parlez-en mal ou en bien mais parlez-en.

* Les citations sont tirées d’Internet, sauf celle de Laurent Pelletier.

Me Laurent Pelletier, avocat à la retraite

Bien des gens, à Avonlea comme ailleurs, s’occupent des affaires de leurs voisins et négligent les leurs. Pour sa part, Mme Rachel Lynde était de ces créatures particulièrement douées qui peuvent à la fois s’occuper de leurs affaires personnelles et mettre le nez dans celles des autres. C’était une maîtresse de maison hors pair ; elle s’acquittait toujours à la perfection de ses tâches domestiques ; elle dirigeait le cercle de couture, aidait à organiser les cours de catéchisme pour l’école du dimanche, et s’était instituée pilier de la société de bienfaisance de son église et auxiliaire des missions pour l’étranger. Pourtant, en dépit de toute cette activité, Mme Rachel trouvait le temps de rester assise des heures durant à la fenêtre de sa cuisine pour tricoter des courtepointes à chaîne de coton – elle en avait tricoté seize, c’est ce que racontaient avec admiration les femmes d’Avonlea – tout en parcourant de son regard perçant la route principale qui, ayant traversé le vallon, montait, en s’essoufflant, la butte rouge que l’on voyait au loin. Comme Avonlea occupait une petite presqu’île triangulaire qui faisait saillie dans le golfe du Saint-Laurent, on n’avait pas d’autre choix, pour en sortir ou y rentrer, que de passer par la route de la colline ; on n’échappait donc jamais à l’œil inquisiteur de Mme Rachel.


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